Suite à l’élection controversée de Mahmoud Ahmadinejad en Iran, de violents heurts et manifestations ont soulevé tout le pays et notamment la capitale Téhéran.
La France qui s’est exprimée très rapidement sur la situation instable et fragile au Moyen Orient, s’est dite très inquiète. En revanche, le porte parole du ministère des Affaires étrangères, Eric Chevallier, assure que les relations entre les deux pays ne sont pas tendues même si la France partage les mêmes avis et préoccupations que la communauté internationale.
Cet après midi, le premier ministre François Fillon a confirmé ainsi les faits en affirmant devant l’Assemblée nationale que la France était « extrêmement préoccupée par la dégradation de la situation ». Il a également déclaré que les autorités iranniennes devaient privilégier le dialogue, au détriment de la force, pour maîtriser les échauffourés.
Nicolas Sarkozy a de son côté lui aussi condamné les violences et les arrestations musclées des manifestants puis il a appelé à faire « toute la lumière » sur les mystérieux résultats qu’ont apporté les élections présidentielles.
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